Shanghai 2009

En arrivant dans les rue de Pǔdōng (浦东新区), on peut se laisser impressionner par la nouvelle grande tour, qui est entre le décapsuleur au design à la Starck et la tour bien pensée pour éviter les crashs des avions détournés, c”est avec ses 492 m, la deuxième la plus grande du monde (après celle de Dubaï), si l’on ne compte pas les antennes. Si on compte les antennes elle est troisième après Taipei 101 à Taïwan.

En arrivant dans Shanghai, dans l’ambiance, en dehors des jeunes gens (moyenne 30 à 35 ans) très pressés et des nombreuses voitures, on remarque une odeur très typique à la Chine (pour nous Européens) et le bruit de sortes de criquets. La photo est ratée, contre jour + telephone portable oblige.

J’ai eu la chance, au moment d’aller au musée des beaux-arts de Shanghai (上海美术馆), Place du Peuple (人民广场), de tomber sur le vernissage d’une exposition sur Dali (intitulée « Salvator Dali in Shanghai »), mer permettant de voir une bonne rétrospective de ses estampes, de quelques unes de ses illustrations et sculptures, travail que je ne connaissais que très peu et que je n’avais jamais vu à Paris.

Dans le jardin avoisinant, des centaines de feuilles de lotus, remplies d’énormes goutes de rosées, et des joueurs de cartes un peu partout.

On voit ici le décalage entre le vieux Shanghai colonial des quartiers français et les tours modernes chinoises entourant la Place du Peuple, à l’Est de cette place, la rue de Nánjīng (Nankin) (南京路), pièges à touristes locale, pleins de magasins (de chaines) bas de gamme à prix élevés, comme les Champs-Elysées à Paris ou Wángfǔjǐng (王府井) à Pékin.

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